Bulletin of the World Health Organization, Volume: 81, Número: 8, Publicado: 2003
  • Evidence to support a food-based dietary guideline on sugar consumption in South Africa Policy and Practice

    Steyn, N.P.; Myburgh, N.G.; Nel, J.H.

    Resumo em Francês:

    En 1997, l'Afrique du Sud a entrepris d'élaborer et d'appliquer refusé de les approuver tant que la question du sucre n'y figurait des conseils diététiques alimentaires pour les personnes à partir pas. Le présent article récapitule les données de nature à étayer de six ans. Etant donné la complexité de la population, qui est une recommandation relative au sucre ainsi que la nature de ces composée de groupes ethniques divers, et l'urbanisation galo-données. Notre expérience pourrait inspirer d'autres pays au pante, les conseils diététiques alimentaires doivent couvrir aussi revenu inférieur ou moyen, notamment en Afrique, qui se troubien la suralimentation que la sous-nutrition. Les conseils initiaux veraient devant ce même dilemme. faisaient l'impasse sur le sucre et le Département de la Santé a refusé de les approuver tant que la question du sucre n’y figurait pas. Le présent article récapitule les données de nature à étayer une recommandation relative au sucre ainsi que la nature de ces données. Notre expérience pourrait inspirer d’autres pays au revenu inférieur ou moyen, notamment en Afrique, qui se trouveraient devant ce même dilemme.

    Resumo em Espanhol:

    Desde 1997 Sudáfrica viene formulando y aplicando directrices sobre el azúcar, y el Departamento de Salud no estaba dispuesdietéticas basadas en los alimentos para las personas mayores to a aprobarlas mientras no proporcionaran asesoramiento en de 6 años. Debido a la complejidad de la población, que com-ese sentido. Este artículo resume las pruebas científicas que prende diferentes grupos étnicos, así como a la rápida urbaniza-respaldan tal asesoramiento y la naturaleza de esas pruebas. ción que está teniendo lugar, las normas dietéticas basadas en Otros países de ingresos bajos y medianos, particularmente de los alimentos han de abarcar tanto la sobrenutrición como la África, se hallan quizá ante un dilema similar y podrían sacar prodesnutrición. Las primeras directrices no incluían orientación vecho de nuestra experiencia.

    Resumo em Inglês:

    Since 1997, South Africa has been developing and implementing food-based dietary guidelines for people aged >6 years. The complexity of the population, which contains different ethnic groups, as well as the rapid urbanization that is taking place, means that food-based dietary guidelines need to consider both overnutrition and undernutrition. The initial guidelines did not include guidance on sugar, and the Department of Health was not prepared to approve them until appropriate guidance on sugar was included. This paper summarizes the evidence available for such a guideline and the nature of that evidence. Other low- and middle-income countries, particularly those in Africa, may face a similar dilemma and might learn from our experience.
  • Poverty and common mental disorders in developing countries Policy and Practice

    Patel, Vikram; Kleinman, Arthur

    Resumo em Francês:

    L'examen de revues en anglais parues depuis 1990 et de trois rapports sur la santé mentale dans le monde a permis de recenser 11 études communautaires sur le lien entre la pauvreté et les troubles mentaux courants dans six pays à moyen ou faible revenu. La plupart d'entre elles font apparaître une association entre le risque de trouble mental et les indicateurs de pauvreté, le lien le plus constant étant avec un faible niveau d'instruction. De l'analyse des articles qui étudient le mécanisme de la relation il ressort peu d'éléments tendant à confirmer une association spécifique avec le niveau de revenu. Des facteurs comme l'insécurité et le désespoir, une évolution sociale rapide et le risque de violence et de problèmes de santé physiques pourraient expliquer que les pauvres sont plus vulnérables aux troubles mentaux courants. Le coût direct et indirect des troubles mentaux aggrave les difficultés économiques et crée un cercle vicieux entre la pauvreté et les problèmes de santé mentale. Les responsables du choix des politiques et les donateurs doivent ranger les troubles mentaux courants parmi les affections associées à la pauvreté. Les programmes d'investissement dans l'éducation et de microcrédit peuvent avoir pour effet inattendu de réduire le risque de trouble mental. La prévention secondaire doit avant tout consister à rendre les services de soins primaires capables d'offrir un traitement efficace.

    Resumo em Espanhol:

    El examen de diversas revistas publicadas en inglés desde 1990 y de tres informes mundiales sobre la salud mental permitió identificar 11 estudios comunitarios sobre las relaciones entre pobreza y trastornos mentales comunes en seis países de ingresos bajos y medios. La mayoría de los estudios revelaron una relación entre los indicadores de pobreza y el riesgo de trastornos mentales, destacando sobre todo la asociación con los bajos niveles de instrucción. Del análisis de los artículos en que se estudiaba el mecanismo de la relación se desprende que la evidencia a favor de una asociación específica con el nivel de ingresos es débil. Factores como la experiencia de la inseguridad y la desesperanza, los cambios sociales rápidos y el riesgo de violencia y problemas de salud pueden explicar la mayor vulnerabilidad de los pobres a los trastornos mentales comunes. Los costos directos e indirectos de la mala salud mental agravan la situación económica y ponen en marcha un círculo vicioso de pobreza y problemas mentales. Es necesario que los formuladores de políticas y los donantes consideren los trastornos mentales comunes al mismo nivel que otras enfermedades asociadas a la pobreza. Programas como la inversión en educación y la concesión de microcréditos pueden tener efectos imprevistos de reducción del riesgo de trastornos mentales. La prevención secundaria debe centrarse en el fortalecimiento de la capacidad de los servicios de atención primaria para tratar eficazmente esos casos.

    Resumo em Inglês:

    A review of English-language journals published since 1990 and three global mental health reports identified 11 community studies on the association between poverty and common mental disorders in six low- and middle-income countries. Most studies showed an association between indicators of poverty and the risk of mental disorders, the most consistent association being with low levels of education. A review of articles exploring the mechanism of the relationship suggested weak evidence to support a specific association with income levels. Factors such as the experience of insecurity and hopelessness, rapid social change and the risks of violence and physical ill-health may explain the greater vulnerability of the poor to common mental disorders. The direct and indirect costs of mental ill-health worsen the economic condition, setting up a vicious cycle of poverty and mental disorder. Common mental disorders need to be placed alongside other diseases associated with poverty by policy-makers and donors. Programmes such as investment in education and provision of microcredit may have unanticipated benefits in reducing the risk of mental disorders. Secondary prevention must focus on strengthening the ability of primary care services to provide effective treatment.
  • Promoting safe motherhood through the private sector in low- and middle-income countries Policy and Practice

    Brugha, Ruairí; Pritze-Aliassime, Susanne

    Resumo em Francês:

    Dans bon nombre de régions à revenu faible ou intermédiaire, le succès ou l'échec des stratégies visant à mettre en place la maternité sans risque pourrait bien être déterminé en grande partie par le rôle joué par le secteur privé. Les dispensateurs de soins privés déjà présents, en particulier les infirmières et les sages femmes, peuvent aider à faire adopter les pratiques de la maternité sans risque s'ils participent à l'ensemble des soins. Cependant, les responsables de l'élaboration des politiques de ces régions n'ont pas du tout tenu compte du rôle qu'ils pouvaient jouer. Le secteur privé (principalement les médecins), dans les endroits où il four-nit des soins à des segments de population plus aisés, a tendance à entraîner une surconsommation de soins et des taux de césariennes élevés ; ces soins sont souvent financés par des systèmes de tiers payant. Dans les endroits plus pauvres, en particulier dans les régions rurales, les infirmières et sages femmes privées et les femmes qui choisissent de faire appel à elles risquent de se heurter aux mêmes contraintes que celles rencontrées dans le secteur public - par exemple un accès limité ou financièrement inabordable aux établissements de santé de niveau supérieur pour la prise en charge des urgences obstétricales. Les responsables de l'élaboration des politiques dans les pays doivent établir la carte du système de santé, comprendre la nature et la répartition du secteur privé et les aspects qui influent sur ce dernier. Cette res-source potentielle pourrait ensuite être mobilisée afin de participer à la réalisation des objectifs de la maternité sans risque.

    Resumo em Espanhol:

    El sector privado formal podría contribuir en gran medida al éxito o fracaso de las actividades orientadas a alcanzar las metas de maternidad sin riesgo en muchos entornos de ingresos bajos o medianos. Los dispensadores de salud reconocidos en el sector privado, especialmente las enfermeras/parteras, tienen muchas posibilidades de contribuir a las prácticas de maternidad sin riesgo si participan en el continuum asistencial. Sin embargo, en gran parte han sido ignorados por los formuladores de políticas en los entornos de ingresos bajos. El sector privado (principalmente los médicos) fomenta la sobreprestación de servicios y las tasas altas de cesárea en los entornos donde atiende a los sectores más ricos de la población; tal atención es financiada a menudo mediante mecanismos de pago por terceros. En los entornos más pobres, especialmente en las zonas rurales, las enfermeras/parteras privadas y las mujeres que recurren a ellas suelen sufrir limitaciones similares a las encontradas en el sector público, como por ejemplo un acceso escaso o inasequible a establecimientos de nivel superior para el manejo de las emergencias obstétricas. Es necesario que los formuladores de políticas a nivel de país determinen la estructura del sistema de salud y comprendan la naturaleza y distribución del sector privado y los factores que influyen en él. Este recurso potencial podría ponerse así al servicio del logro de las metas de maternidad sin riesgo.

    Resumo em Inglês:

    The formal private sector could play a significant role in determining whether success or failure is achieved in working towards goals for safe motherhood in many low- and middle-income settings. Established private providers, especially nurses/midwives, have the potential to contribute to safe motherhood practices if they are involved in the care continuum. However, they have largely been overlooked by policy-makers in low-income settings. The private sector (mainly doctors) contributes to overprovision and high Caesarean section rates in settings where it provides care to wealthier segments of the population; such care is often funded through third-party payment schemes. In poorer settings, especially rural areas, private nurses/midwives and the women who choose to use them are likely to experience similar constraints to those encountered in the public sector - for example, poor or unaffordable access to higher level facilities for the management of obstetrical emergencies. Policy-makers at the country-level need to map the health system and understand the nature and distribution of the private sector, and what influences it. This potential resource could then be mobilized to work towards the achievement of safe motherhood goals.
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